12 OCTOBRE 1915 : 14h10

DOUAUMONT (FRANCE)


On était le 12 Octobre et la bataille faisait rage depuis plusieurs jours. On me voit à gauche en uniforme du 126ème RI. Je commmandais alors une équipe de sept gars et notre mission était claire : bombarder à coups de canon les « boches » qui se trouvaient au delà de la colline. Nous étions en train d’armer notre pièce d’artillerie lorsque un objet étrange apparut dans le ciel. Il resta là, immobile quelques minutes et disparut rapidement vers l’horizon. Presque aussitôt le feu des Allemands s’arrêta. Un éclaireur envoyé sur place nous indiqua que l’ennemi s’était volatilisé comme par enchantement. Seuls subsistaient sur place quelques corps calcinés et des carcasses fumantes de véhicules.


 
17 NOVEMBRE 1918 : 12h10

COMBLES (FRANCE)


Je m’étais gravement blessé à Verdun en 1915 et j’avais du être amputé du bras gauche. De plus, avec mon épouse et nos deux enfants, nous avions étés contraints de quitter notre domicile fin 1915 car les combats faisaient rage dans les environs. Dès l’armistice signée, nous sommes revenus voir notre maison (celle de droite) partiellement détruite. A notre arrivée sur les lieux, sont apparus dans le ciel, deux objets de forme circulaire. J’ai pu prendre cette photo juste avant qu’un des deux engins ne détruise les deux maisons grâce à un arc lumineux d’une intensité incroyable. Ce phénomène reste à ce jour inexpliqué.


 
25 AOUT 1914 : 11h20

BACCARAT (FRANCE)


Durant la 1ère Guerre Mondiale, le grand pont de Baccarat fut le théâtre d’un combat meurtrier le 25 août 1914.Trois assauts furent donnés sur le pont, alors que les troupes bavaroises avaient disposé plusieurs mitrailleuses, interdisant tout franchissement de l’ouvrage par les français. On releva sur le pont plus de 90 tués et autant de blessés. Mais un mystère subsiste. De nombreux témoins virent 2 objets bizarres se déplacer à grande allure dans le ciel. A leur passage, ce qui restait de deux grands bâtiment jouxtant l’église s’écroulèrent brutalement.


 
22 AOUT 1914: 11h23

MELUN (FRANCE)


Sur la photo, on voit mon père Louis-François. On est alors au tout début de l’année 1915 et il venait juste de recevoir son ordre de mobilisation. Mon père était un doux réveur et il ne cessait d’inventer des objets pour la plupart inutiles mais de temps en temps assez extraordinaires. Avant de partir pour le front, il avait fabriqué un aéroplane, capable disait-il, de surprendre les boches et leur infliger de lourdes pertes. Cette invention lui était apparue dans un rêve en pleine nuit. Tout le village se moquait gentiment de lui car il affirmait tenir les plans de fabrication de « petits hommes verts » qui lui avait soufflé l’idée pendant son sommeil. Il partit au front quelques jours après, avec courage et en pleine confiance. On ne le revit jamais.